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LE RETOUR DES CYBERNAUTESRETURN OF THE CYBERNAUTS Steed pulls some strings â Emma becomes a puppet Tournage TerminĂ© le 15 juin 1967 Diffusion ITV, 30 septembre 1967 â 1re chaĂźne ORTF, 15 juillet 1973 ScĂ©nario Philip Levene RĂ©alisation Robert Day Peter Cushing Paul Beresford, Frederick Jaeger Benson, Charles Tingwell Dr. Neville, Fulton Mackay Professor Chadwick, Roger Hammond Dr. Russell, Anthony Dutton Dr. Garnett, Noel Coleman Conroy, Aimi MacDonald Rosie, Redmond Phillips Hunt, Terry Richards Cybernaut. RĂ©sumĂ© Paul Beresford fait enlever les meilleurs scientifiques pour venger la mort de son frĂšre, feu le docteur Armstrong. L'Ă©limination des Avengers est programmĂ©e⊠Ăpilogue Steed essaie de rĂ©parer le toaster de Mrs Peel. Les rĂ©sultats sont explosifs⊠"That's the first thing Great-Britain's ever got into orbit!" [C'est la premiĂšre chose que la Grande-Bretagne envoie sur orbite !] CRITIQUES Denis Chauvet Avis Une suite nâĂ©gale jamais lâoriginal. Bien quâil y ait moins de suspense quâĂ lâaccoutumĂ©e, car nous connaissons le mĂ©chant et ses motivations trĂšs tĂŽt, cet Ă©pisode est un classique de la sĂ©rie et il repose essentiellement sur les nombreuses scĂšnes dâaction. Paul Beresford est le meilleur mĂ©chant de la saison et sa façon de sĂ©duire Mrs Peel, au grand dam de son partenaire, est surprenante. Ă dĂ©faut dâhumour, la jalousie de Steed est lâattrait des dialogues. Notez le prototype de la secrĂ©taire Ă la voix dĂ©sagrĂ©able en VO au possible. Bien quâinfĂ©rieur Ă lâoriginal, Le retour des cybernautes est un trĂšs bon Ă©pisode oĂč Peter Cushing personnifie admirablement le vengeur ce nâest pas ceux quâon croit cette fois-ci ! en jouant un "game of cat and mouse". Avec le recul nouvel avis, janvier 2012 Un Ă©pisode que jâavais sous-Ă©valuĂ© lors de lâĂ©laboration de la fiche. De trois, je passe Ă quatre melons, mĂȘme si je prĂ©fĂšre le premier volet de la quatriĂšme saison. Peter Cushing est grandiose et lâidĂ©e des cybernautes-marionnettes est une bonne trouvaille. Les commentaires de Cyd Child Ă©clairent de nombreuses scĂšnes, en particulier celle de la poursuite finale. Les seconds rĂŽles sont trĂšs bons et le rythme sans temps mort. Steed3003 26 dĂ©cembre 2006 Voici la seule et unique suite jamais donnĂ©e Ă un Ă©pisode des Avengers. Les Cybernautes Ă©tait sans nul doute un des meilleurs segments de la 4e saison. La loi qui veut quâune suite soit toujours infĂ©rieure Ă lâoriginal sâest-elle appliquĂ©e Ă la sĂ©rie ? Malheureusement oui⊠On retrouve Philip Levene au scĂ©nario. Câest lui-mĂȘme qui avait Ă©crit Les cybernautes, il semblait donc le choix le plus lĂ©gitime pour cette suite. Liant habilement cette suite Ă lâoriginal et multipliant les rĂ©fĂ©rences My turn !»/ Mon tour ! » dit Steed Ă la fin de lâĂ©pisode pour terrasser le cybernaute de son index aprĂšs que Mrs Peel lâeut fait dans Les cybernautes, Philip Levene devrait de ce point de vue rĂ©galer les fans. Pourtant, lâintrigue en elle-mĂȘme manque fonciĂšrement dâoriginalitĂ© et nâĂ©gale pas le premier opus. Si Philip Levene rĂ©ussit Ă trouver un nouvel angle dâapproche pour la menace des cybernautes, tout semble avoir Ă©tĂ© vu et revu dans la sĂ©rie et maintes fois ailleurs. Beaucoup trop linĂ©aire, lâĂ©pisode bĂ©nĂ©ficie pourtant dâun des meilleurs mĂ©chants de la saison Paul Beresford. AnimĂ© par une vengeance personnelle envers les Avengers mais aussi par des sentiments pour Mrs Peel, il forme un personnage complexe et fascinant. Câest bien dâailleurs en tirant sur la corde romantique avec un triangle amoureux Beresford-Peel-Steed que Philip Levene rĂ©ussit Ă maintenir en haleine pour cet Ă©pisode. Cette rĂ©ussite ne nous fait pourtant pas oublier les nombreuses invraisemblances et zones dâombre. Comment, par exemple, Beresford rĂ©ussit-il Ă contrĂŽler Mrs Peel pour quâelle arrive en voiture chez lui Ă la fin de lâĂ©pisode ? Les dialogues manquent aussi beaucoup dâhumour, ce qui est surprenant de la part de Levene. Le retour des cybernautes constitue par ailleurs une des histoires les plus adultes et les moins fantaisistes de la saison. Philip Levene a ici Ă©crit lâun de ses moins bons rĂ©cits. Contrairement Ă Philip Levene, le metteur en scĂšne Robert Day effectue son meilleur travail pour la sĂ©rie. Il rĂ©ussit Ă dynamiser un scĂ©nario plutĂŽt faiblard grĂące Ă une rĂ©alisation nerveuse et alerte. Le retour des cybernautes nâa rien Ă envier aux meilleurs films dâaction de lâĂ©poque. Les scĂšnes dâattaque du cybernaute se rĂ©vĂšlent vĂ©ritablement impressionnantes, surtout au regard du budget de la sĂ©rie. Il profite aussi audacieusement des dĂ©cors, notamment Ă travers lâappartement de Beresford qui symbolise la dualitĂ© du personnage. Au niveau de lâinterprĂ©tation, Peter Cushing se rĂ©vĂšle ĂȘtre la meilleure guest star de la saison et nous livre ici une composition sans fausses notes. Soutenus par un acteur de tel talent, Patrick Macnee et Diana Rigg font eux aussi un travail formidable, tout en nuances. On remarquera Ă©galement le retour rĂ©ussi de Frederick Jaeger qui avait dĂ©jĂ tenu le rĂŽle de Benson dans Les cybernautes. En bref, la mise en scĂšne tranche avec le reste de la saison et apporte Ă©normĂ©ment de rythme Ă lâĂ©pisode. Steed sâinquiĂšte du rapprochement entre Mrs Peel et Paul Beresford mais ne souhaite pas trop le montrer Ă sa partenaire. Quand celle-ci lui dit Steed, youâre jealous ! » [ Steed, vous ĂȘtes jaloux ! »], il lui rĂ©pond No, I wouldnât say that Mrs Peel. Just thoughtful ! » [ Non, je ne dirai pas cela Mrs Peel. Juste prĂ©venant ! »]. Pour une fois, les tenues de Mrs Peel sont assez mitigĂ©es dans cet Ă©pisode. Si on saluera son ensemble noir et sa mini-jupe violette en premiĂšre partie dâĂ©pisode, on sera plus circonspect sur son emmapeeler vert criard en seconde partie. Le manoir de Beresford est un des meilleurs dĂ©cors de la saison, juxtaposant audacieusement une salle de contrĂŽle ultra moderne Ă un salon plutĂŽt classique Ă lâaide dâun miroir sans tain. TrĂšs jolie localisation aussi pour lâextĂ©rieur de son manoir. Le reste des dĂ©cors apparaĂźt Ă©trangement vide et moins soignĂ©. On retrouve avec plaisir lâexcellent thĂšme musical des Cybernautes, mĂȘme si son utilisation rĂ©pĂ©tĂ©e peut lasser. EN BREF Une suite infĂ©rieure Ă lâoriginal, la faute Ă un scĂ©nario nettement moins excitant. NĂ©anmoins, lâinterprĂ©tation de Peter Cushing et une rĂ©alisation survitaminĂ©e nous permettent de passer un agrĂ©able moment. Estuaire44 15 Septembre 2013 On reprochera certes Ă l'Ă©pisode le caractĂšre mensonger de son titre, car Levene nous rĂ©gale ici de tout autre chose qu'un simple retour ! Bien Ă rebours Le retour des Cybernautes s'affirme comme un parangon de ce que devrait reprĂ©senter toute suite d'un premier opus une approche innovante apportant une indĂ©niable valeur ajoutĂ©e. La scĂšne d'ouverture Ă©tablit certes une jonction nĂ©cessaire avec le premier volet de la trilogie, retrouvant la scĂšne emblĂ©matique de l'attaque du Cybernaute. Mais l'amĂ©lioration se montre dĂ©jĂ patente, grĂące aux angles de vue remarquablement suggestifs, dĂ©busquĂ©s par un Robert Day apportant une intensitĂ© nouvelle au passage. Tout au long du rĂ©cit, la mise en scĂšne, assistĂ©e par une parfaite musique, va d'ailleurs tirer le meilleur parti des proverbiaux dĂ©cors dĂ©serts de la sĂ©rie, notamment de superbes extĂ©rieurs. Le tout au prix d'un lĂ©ger manque de vraisemblance personne ne remarque jamais la progression du robot, mais qu'importe. Les plateaux sont Ă©galement judicieusement conçus, notamment l'Ă©lĂ©gante rĂ©sidence de Beresford, idĂ©al support de l'action grĂące Ă une optimisation de l'inusable miroir sans tain. Surtout, dĂšs l'entrĂ©e dans le vif de sujet, l'Ă©pisode connaĂźt une totale rupture de ton en introduisant une si plaisante comĂ©die de mĆurs illustrant la jalousie de Steed, face Ă la cour menĂ©e par un entreprenant et dĂ©licieusement suave Beresford auprĂšs d'une Mrs Peel que tout ceci amuse visiblement beaucoup. La tonalitĂ© de pure Science-fiction, souvent hĂ©las bien primitive, qui animait le premier volet se voit ainsi considĂ©rablement renouvelĂ©e et aĂ©rĂ©e par ce marivaudage lĂ©ger, mais Ă©galement brillant et incisif. Une nouvelle fois, Levene joue avec brio de l'ambigĂŒitĂ© de la relation unissant Steed Ă Emma, tandis que Diana Rigg, et peut ĂȘtre davantage encore Patrick Macnee, apparaissent ravis de s'exprimer sur ce registre. Paul Beresford, certainement l'un des meilleurs et des plus machiavĂ©liques Diabolical Masterminds de cette cinquiĂšme saison, reprĂ©sente Ă lui seul l'un des atouts maĂźtres du succĂšs de ce Retour des Cybernautes. Il se montre en effet particuliĂšrement enthousiasmant par son aspect de double nĂ©gatif de Steed, dont il partage tant de points communs, dont l'Ă©picurisme raffinĂ© mais aussi la ruse florentine. Son aspect dual de parfait homme du monde et d'esprit impitoyable habitĂ© par une inextinguible soif de vengeance se trouve parfaitement exprimĂ© par le grand Peter Cushing Ecrire un Beresford totalement diffĂ©rent du gĂ©nie scientifique visionnaire et dĂ©voyĂ© d'Armstrong s'avĂšre judicieux au plus haut point pour le renouvellement de la saga. L'acteur se trouve assurĂ©ment au faĂźte de son art, mais trouve aussi un personnage Ă sa mesure. GrĂące au captivant personnage, Cushing accomplit une authentique prouesse de crĂ©ation, de plus parfaitement dans l'esprit Avengers et affranchie de son rĂŽle emblĂ©matique de la Hammer, Van Helsing. Tout le contraire de ce qu'a hĂ©las connu Christopher Lee, avec l'Ă©lĂ©mentaire et indigente redite de son Frankesntein, perpĂ©trĂ©e par InterfĂ©rences. AprĂšs un tel coup d'Ă©clat, on comprend sans peine que Cushing ait remis son retour jusqu'aux New Avengers, tandis que Lee, Ă©videmment restĂ© sur une criante insatisfaction, mettra un point d'honneur Ă retrouver son camarade Macnee dĂšs la saison suivante. On pourra Ă©ventuellement reprocher Ă Levene de broder sur le thĂšme archi usĂ© de la vengeance, auquel se greffent quelques clichĂ©s telle la rĂ©vĂ©lation finale du lien parental du mĂ©chant. Mais le succĂšs rencontrĂ© par cette formule illustre justement son inĂ©puisable ressort dramatique. Ce dernier est encore rĂ©cemment illustrĂ© par le succĂšs de The Dark Knight Rises et sa dĂ©couverte de l'identitĂ© d'une tortueuse Talia al Ghul, agrĂ©mentĂ©e de quelques cocasseries d'une malheureuse Cotillard totalement hors sujet. GrĂące Ă Beresford, et au talent de Cushing, Levene donne merveilleusement corps Ă cette vĂ©nĂ©rable tradition. Qu'importe par ailleurs quelques errements comme la montre agissant soudainement sur le savant, sans que le biorythme de celui-ci n'ait Ă©tĂ© captĂ©. Surtout le grand intĂ©rĂȘt de l'Ă©pisode repose sur sa réécriture des Cybernautes, la fusion avec l'humain apportant une prĂ©cieuse et troublante innovation au robot basique, destructeur immuable de portes et nuques. Celui demeure certes, apportant son lot de scĂšnes d'action, mais l'intĂ©rĂȘt se focalise bien sur l'impressionnante scĂšne finale et les tourments de la malheureuse Emma. Transformer cette icĂŽne de la libĂ©ration de la femme que compose Emma Peel en instrument servile des dĂ©sirs du mĂąle dominant constitue bien l'ultime diablerie de Beresford, dans un effet absolument vertigineux. Diana Rigg se montre une nouvelle fois admirable dans cette composition d'une Mrs Peel claquemurĂ©e dans sa souffrance, dans un captivant effet de miroir inversĂ© aux Cybermen du Docteur. Levene soigne le moindre dĂ©tail de son nouveau chef d'Ćuvre, dĂ©veloppant parmi ses seconds rĂŽles une Ă©tude de caractĂšre plus fine que ce que propose de coutume la pĂ©riode en couleurs de la sĂ©rie. Le dĂ©gradĂ© des sentiments des scientifiques capturĂ©s, de la rĂ©volte immĂ©diate Ă la soumission vĂ©nale, est joli observĂ©, de mĂȘme qu'interprĂ©tĂ© par d'excellents acteurs. On apprĂ©cie particuliĂšrement la crapulerie satisfaite et goguenarde de Chadwick, avec un rĂ©ellement succulent Fulton Mackay. La dĂ©lurĂ©e Rosie ouvre une sympathique fenĂȘtre sur le Swinging London des Sixties, dont elle incarne la mode et les intonations. Elle se montre juste assez pour divertir sans lasser. La prĂ©sence de Benson, de nouveau la cheville ouvriĂšre du GĂ©nie du Mal, apporte un amusant comique de rĂ©pĂ©tition, ainsi qu'une nouvelle sympathique composition de Frederick Jaeger. EN BREF Un grandiose Peter Cushing incarne un perfide et cruel alter ego de Steed, obsĂ©dĂ© par la vengeance, un captivant portrait. L'entrecroisement avec l'humain rend bien plus intĂ©ressant le concept de Cybernaute, grĂące Ă©galement Ă une Ă©tonnante Diana Rigg. VIDĂO Steed jaloux du bĂ©guin de Mrs Peel pour Beresford ! INFORMATIONS COMPLĂMENTAIRES Tournage o La maison de Paul Beresford se trouve Ă Woolmers Park, Letty Green. o La scĂšne du rapt du Dr Russell lâintroduction a Ă©tĂ© tournĂ©e Ă Denham dans le Buckinghamshire. o Le bĂątiment oĂč on voit le cybernaute poursuivre Neville se trouve Ă Elstree. Il a Ă©tĂ© dĂ©truit depuis le tournage. o La tour qui marque quatre heures est celle de The International University Ă Bushey introduction. o La Bentley de Steed poursuit la Lotus de Mrs Peel le long de Holmshill Lane prĂšs de Well End. ContinuitĂ© o Lors de la scĂšne dâintroduction, le cybernaute pĂ©nĂštre chez le Dr Russell, la poignĂ©e de la porte est noire puis dorĂ©e. o Le sac de Mrs Peel n'a pas Ă©tĂ© oubliĂ© Ă l'endroit oĂč il est retrouvĂ© le lendemain. o ProblĂšme de tenue vestimentaire encore ! Steed quitte l'appartement de Paul Beresford en costume gris et arrive chez l'avouĂ© en costume bleu foncĂ©. o La ceinture de Mrs Peel est diffĂ©remment attachĂ©e dans l'appartement de Steed puis chez Beresford scĂšne continue. o Toute la sĂ©quence de la poursuite fut tournĂ©e par les doublures, Cyd Child et Rocky Taylor. On le reconnaĂźt facilement car les gros plans montrant Patrick Macnee et Diana Rigg ont une couleur pĂąlotte et furent tournĂ©s en studio. Cyd Child explique que ses chaussures Ă©taient abimĂ©es Ă cause de la conduite excessive. Here they the shoes are. Thatâs meâ dit-elle lorsque Mrs Peel marche de dos vers la Lotus. La scĂšne a dĂ» ĂȘtre tournĂ©e deux fois car les pneus de la voiture ont tellement crissĂ©s que les gens qui travaillaient dans les bureaux au bout de la rue se sont mis Ă la fenĂȘtre. Le tournage se faisait la semaine et la circulation Ă©tait coupĂ©e. Source commentaires de Cyd Child dans lâĂ©dition Optimum. o Lors de lâenlĂšvement du Dr Russell introduction, le cybernaute se trouve dans lâencablure de la porte aprĂšs lâavoir dĂ©foncĂ©e. Il nây a aucun dĂ©bris entre la porte et le tapis. Au plan suivant, le sol en est jonchĂ©. o Le docteur Neville a changĂ© de chaussures trĂšs rapidement lors de son enlĂšvement, il porte des chaussures marron dans sa voiture puis des noires lorsquâil est transportĂ© par le cybernaute ! o Ce nâest pas Patrick Macnee qui conduit la Bentley Ă lâarrivĂ©e chez Hunt, lâavouĂ©, mais Rocky Taylor. o Le panorama du bureau du Dr Garnett, lors de la rencontre entre Steed et Conroy, est un fakeâ, une peinture dĂ©jĂ vue dans Le tigre cachĂ©. o Le cybernaute vient rechercher Garnett dans lâappartement de Steed. Cyd Child Brian Clemens avait demandĂ© si je pouvais aller jusquâau canapĂ© dans la chute. En fait, je suis passĂ©e par-dessus et jâai brisĂ© le verre du tableau avec mes pieds.â Source commentaires de Cyd Child dans lâĂ©dition Optimum. o That was meâ dit Cyd Child. Le film Ă©tait parfois accĂ©lĂ©rĂ© pour quâon ne puisse pas reconnaĂźtre la doublure. Source commentaires de Cyd Child dans lâĂ©dition Optimum. o La montre de Steed est censĂ©e ĂȘtre photographiĂ©e pour obtenir une copie exacte. NĂ©anmoins, la photo noir et blanc reproduit la montre Ă lâenvers et lâheure indiquĂ©e est diffĂ©rente. DĂ©tails o DeuxiĂšme fois dans cette saison qu'un extrait de l'Ă©pisode Les cybernautes est diffusĂ©. La premiĂšre fois c'Ă©tait dans l'Ă©pisode InterfĂ©rences. o Le buste en bronze de Mrs Peel ressemble Ă un masque mortuaire ! o La Lotus explose la barriĂšre de la propriĂ©tĂ© de Beresford. On peut lire sur lâĂ©criteau "Beresford Estate. Trespassers will be prosecuted." o Ă part lâextrait des Cybernautes de la saison 4 et les nombreuses rĂ©fĂ©rences au docteur Armstrong, il y a deux allusions plus discrĂštes au premier volet. Garnett dĂ©clare avoir dĂ©jĂ rencontrĂ© Steed et Benson rĂ©pond "So did I" en se frottant la tĂȘte. [Moi aussi.]. Mrs Peel veut faire tomber le cybernaute avec un doigt ce quâelle a dĂ©jĂ fait Ă la fin de lâoriginal et Steed dit "My turn." [Câest mon tour.] o La robe dâĂ©tĂ© rose sexy que porte Mrs Peel Ă la fin de lâĂ©pisode est surtout prĂ©sente dans Le tigre cachĂ©. o On peut voir chez Beresford une lampe en forme de cavalier. On lâa dĂ©jĂ vue dans des Ă©pisodes de la saison 4 Les aigles et Avec vue imprenable. o AprĂšs l'envol du grille-pain, Steed s'exclame That's the first thing Great Britain's ever got into orbit !. Effectivement, aprĂšs les prĂ©misces de la dĂ©cennie prĂ©cĂ©dente, les annĂ©es 60 voient se dĂ©rouler la phase la plus active de la Course Ă l'espace. Ses grands dĂ©fis premier homme dans l'espace, objectif Lune constituent une extension de la rivalitĂ© entre les deux super puissances. L'absence totale de la Grande Bretagne dans cette compĂ©tition, Ă la remorque du programme amĂ©ricain, est commentĂ©e par les contemporains comme une illustration significative de l'abaissement de son statut. Un aspect d'autant plus sensible que la France du GĂ©nĂ©ral se montre bien davantage active en ce domaine. FondĂ© dĂšs dĂ©cembre 1961, le CNES Centre National d'Etudes Spatiales et le projet des "Pierres prĂ©cieuses" Ă©tablissent les fondements du futur programme spatial europĂ©en. Lors de la diffusion de l'Ă©pisode, la fusĂ©e Diamant A vient d'ĂȘtre lancĂ©e avec succĂšs 1965 et met en orbite le satellite AstĂ©rix 1. Il faudra attendre 1971 pour que la Grande-Bretagne mette elle-mĂȘme un satellite en orbite, avec Prospero X-3. o Steed Ă©voque lâexpression Safety by numbers. Elle signifie quâil est toujours plus sĂ»r de se rallier Ă la majoritĂ©. Cette sagesse populaire est dâailleurs confirmĂ©e par les Ă©tudes statistiques modernes. Safety by numbers la force du nombre, en français y dĂ©signe une corrĂ©lation communĂ©ment observĂ©e entre la diminution des risques et lâadĂ©quation du comportement Ă celui du plus grand nombre. Ce la sâobserve notamment en matiĂšre de circulation routiĂšre les automobiles heurtent moins les cyclistes au fur et Ă mesure que ces derniers deviennent plus nombreux o Steed vante le LĂ©oville 28 de Beresford. Le ChĂąteau LĂ©oville Las Cases, lâun des meilleurs St Julien, est un des plus anciens grands crus du mĂ©doc, apprĂ©ciĂ© par les Anglais dĂšs le Moyen-Ăąge. Le lion hĂ©raldique anglais orne dâailleurs toujours les bouteilles de ChĂąteau LĂ©oville. Lors de la scĂšne finale de Lâaile ou la cuisse 1976, le critique gastronomique Duchemin interprĂ©tĂ© par Louis de FunĂšs, privĂ© de goĂ»t, parvient Ă reconnaĂźtre un LĂ©oville Las Cases 1953 Ă son apparence. 1953 est considĂ©rĂ© comme lâun des meilleurs millĂ©simes de ce vin particuliĂšrement complexe, encore supĂ©rieur au trĂšs apprĂ©ciĂ© 1928. o A Loaf of Bread-and Thou, dĂ©clare Steed quand Beresford sâexcuse de ne pas avoir dâinformations concernant Armstrong et propose Ă la place une bouteille de bon vin. Il sâagit dâune citation du plus fameux des Quatrains Ă©crits par le poĂšte et mathĂ©maticien persan Omar Khayyam 1048-1131. Sybarite raffinĂ©, Omar Khayyam fait souvent lâĂ©loge du vin et des plaisirs terrestres dans ses Ćuvres S'il existait un enfer pour les amoureux et les buveurs, le Paradis serait dĂ©sert.. A Book of Verses underneath the Bough, A Jug of Wine, a Loaf of Bread-and Thou Beside me singing in the Wildernessâ Oh, Wilderness were Paradise enow ! Un Livre de Vers sous les branches, Une cruche de vin, un peu de pain, et toi, Chantant prĂšs de moi dans la solitude sauvage, Oh, cette solitude serait pour moi un paradis ! o Merely on advance on the pacemaker, fanfaronne Chadwick auprĂšs de Beresford. Lors de la diffusion de lâĂ©pisode le pacemaker est encore une rĂ©cente innovation technologique. Les premiers modĂšles rĂ©alisĂ©s au cours des annĂ©es 50 demeurent externes au corps et extrĂȘmement incapacitants pour les patients, voire comportant des risques dâĂ©lectrocution. Les installations in corpore de modĂšles rĂ©duits ne surviennent quâau dĂ©but des annĂ©es 60, grĂące aux progrĂšs de la miniaturisation des transistors. Les pacemakers ne se gĂ©nĂ©raliseront toutefois que durant les annĂ©es 70, avce la mise au point de piles longue durĂ©e en lithium. Acteurs - Actrices o Peter Cushing 1913-1994 fut attirĂ© trĂšs jeune par la comĂ©die et il Ă©migra aux Ătats-Unis pour faire ses dĂ©buts Ă Hollywood dans L'homme au masque de fer en 1939. Il retourna en Angleterre pendant la seconde guerre mondiale et participa aux efforts de guerre de son pays. En 1948, il apparaĂźt pour la premiĂšre fois en Grande-Bretagne dans Hamlet aux cĂŽtĂ©s de Laurence Olivier. Il devient un familier de la tĂ©lĂ©vision britannique avant de travailler pour la Hammer Ă la fin des annĂ©es 50 qui le rendit mondialement cĂ©lĂšbre. Ses premiers rĂŽles Ă la Hammer sont devenus "cultes" Dr Frankenstein dans Frankenstein s'est Ă©chappĂ©, Van Helsing dans Dracula et Sherlock Holmes dans Le chien des Baskerville. Les deux premiers rĂŽles vont le poursuivre pendant plus de deux dĂ©cennies dans divers films d'horreur de la Hammer. MalgrĂ© la fermeture des studios de production, il continua Ă tourner dans des films du mĂȘme genre jusqu'au milieu des annĂ©es 70. Il Ă©tait un grand ami d'un autre "spĂ©cialiste" du film d'horreur, Christopher Lee. Une participation remarquĂ©e Ă La guerre des Ă©toiles en 1977 l'a fait sortir de ce registre. Il arrĂȘta de tourner vers le milieu des annĂ©es 80 pour se consacrer Ă deux autobiographies dont The Gentle Man of Horror ainsi qu'Ă la peinture et aux oiseaux. Il fut nommĂ© Officer of the British Empire en 1989 et s'Ă©teignit d'un cancer de la prostate en 1994. Il est le sinistre von Claus du Repaire de l'aigle des New Avengers. o Frederick Jaeger 1928-2004 a participĂ© Ă trois autres Ă©pisodes de la sĂ©rie Mort d'un grand danois, saison 2, Les cybernautes, saison 4, et Cible des New Avengers. Il tient dĂ©jĂ le rĂŽle de Benson dans Les cybernautes de la saison 4. Jaeger est nĂ© Ă Berlin et il Ă©tudia en France et en Allemagne avant d'Ă©migrer en Angleterre en 1939. Il commença Ă faire du théùtre en 1949, de la tĂ©lĂ©vision en 1955 et du cinĂ©ma en 1956. Il est apparu dans de nombreuses sĂ©ries comme DĂ©partement S, Paul Temple, Amicalement vĂŽtre, Poigne de fer et sĂ©duction, Regan, Le retour du Saint, Les professionnels⊠Il est dĂ©cĂ©dĂ© en Espagne. o Anthony Dutton a participĂ© Ă Miroirs de la saison 6 mais Ă©galement Ă DĂ©partement S, Paul Temple, Mission casse-cou, Bergerac. o Fulton Mackay 1922-1987 a participĂ© Ă deux Ă©pisodes de la saison 6 Ă vos souhaits et Bizarre. Ăgalement dans Le Saint, Dr Who, Paul Temple mais c'est son rĂŽle de gardien de prison dans le sitcom Porridge qui reste dans les mĂ©moires en Grande-Bretagne. o Aimi MacDonald 1942 est une actrice Ă©cossaise qui fut trĂšs populaire dans les annĂ©es 60 et 70 dans des comĂ©dies et Ă©missions de variĂ©tĂ©. Elle a jouĂ© Ă la TV dans Vendetta pour le Saint, tĂ©lĂ©film et Ă©pisode en deux parties de la saison 6. Ă noter que⊠o Pour l'Ă©dition Optimum sortie en 2010 au Royaume-Uni, un commentaire audio de cet Ă©pisode a Ă©tĂ© fait avec Cyd Child, doublure. o Lâimage est superbement restaurĂ©e sur la collection Optimum, ce qui nâempĂȘche pas de voir que lâĂ©cran Ă©tait truffĂ© de saletĂ©s lorsque lâaction se fige sur le titre de lâĂ©pisode. De plus, câest assez rare dâavoir une image fixe pour le titre dans les Avengers plutĂŽt vu pour les New Avengers. o Une sorte de rĂ©fĂ©rence Ă Twoâs a Crowd Un Steed de trop. Steed dit Ă Mrs. Peel Thereâs an old saying three is a crowd; thereâs equally an old saying safety in numbers.â o DeuxiĂšme Ă©pisode de la saga des Cybernautes. On retrouve Frederick Jaeger dans le rĂŽle de Benson, c'est le seul personnage rĂ©current de la sĂ©rie avec Brodny Un Steed de trop et L'homme transparent. Les cybernautes reviendront une troisiĂšme fois dans les New Avengers Le dernier des cybernautes. o Lâimage nâest pas de bonne qualitĂ©, loin sâen faut griffures, tĂąches. On le remarque dĂšs la scĂšne dâintroduction. Il y a Ă©galement quelques craquements prononcĂ©s au niveau du son particuliĂšrement dĂ©sagrĂ©ables DVD kiosque. o Sur certains sites anglo-saxons, cet Ă©pisode est le premier de la saison... 6 ! Les huit derniers Ă©pisodes de la saison couleur Emma Peel furent tournĂ©s aprĂšs une pause et sont parfois considĂ©rĂ©s comme une saison Ă part entiĂšre. o Erreur sur la jaquette du DVD kiosque le rĂ©alisateur est non pas Sidney Hayers comme indiquĂ© mais bien Robert Day. o Intro de Patrick Macnee Cette sĂ©rie Ă©tait fascinante car nous innovions Ă la tĂ©lĂ©vision bien avant tout le monde. Dans cet Ă©pisode, Steed et Emma rencontrent des robots tĂ©lĂ©guidĂ©s. Les scĂ©naristes Ă©taient toujours Ă la pointe de la technologie. Dans un Ă©pisode prĂ©cĂ©dent, on voyait pour la premiĂšre fois Ă la tĂ©lĂ©vision un rĂ©pondeur. » source DVD 5 de la collection Optimum, Granada Plus Points o Commentaire de Laurie Johnson, compositeur sur la sĂ©rie Je nâavais travaillĂ© que sur des longs mĂ©trages. Ce qui Ă©tait fabuleux avec Chapeau melon, câest que jâai pu traiter chaque Ă©pisode comme un long mĂ©trage, grĂące Ă ses personnages bizarres et ses ambiances diffĂ©rentes. Tous les Ă©pisodes Ă©taient singuliers. De ce point de vue, la sĂ©rie Ă©tait unique. » source DVD 5 de la collection Optimum, Granada Plus Points o Coupures de presse lors de la 1e diffusion française. TĂ©lĂ© 7 Jours Fiche du Retour des cybernautes des sites Ă©trangers En anglais flamand En italien espagnol- áźŃŃДЎаáș Đ”ŃĐ”Ö
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Lesamateurs de James Bond et de la sĂ©rie Chapeau melon et bottes de cuir connaissent forcĂ©ment Honor Blackman. Celle qui a incarnĂ© Pussy Galore dans Goldfinger, face Ă Sean Connery, estChicas Bond. Inicialmente, la serie tuvo de protagonista femenina a Honor Blackman en el papel de Cathy Gale, entre 1962 y 1964, pero dejĂł la serie para interpretar la chica Bond deem Goldfinger/em 1964. Fue sustituida por Diana Rigg, que interpretaba un nuevo personaje, Emma Peel, entre 1965 y 1968. TambiĂ©n dejĂł la serie para interpretar otra cabecera en color de Los Vengadores/a/strong Souvenezvous, Ă la tĂ©lĂ©vision, « Chapeau melon et bottes de cuir« , le titre Français dâune sĂ©rie Anglaise , »The Avengers », dans laquelle on pouvait voir M. Steed, John Steed, donner la rĂ©plique a Mme Peel. You can Chapeau melon et bottes de cuir Saison 8 - Episode 12 Emilie 1977 John Steed enquĂȘte sur l'identitĂ© du Renard», un homme dangereux qui opĂšre au Canada. Avec ses amis, il prend en chasse un intermĂ©diaire qui remet rĂ©guliĂšrement de l'argent au Renard». Ils assistent Ă la fuite de leur proie, qui laisse pourtant une empreinte sur le toit de la voiture de miss Daly. Steed doit maintenant prĂ©server cette preuve jusqu'Ă ce qu'on la copie... Les Acteurs principaux Et aussi Richard DAVIDSON Phillips Jane. MALLET miss Daly Peter Torokvei Kalenkov izM2t8l.